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ℂ𝕆ℕ𝕊𝔼ℝ𝕍𝔼ℝ 𝕃𝔸 ℙℝ𝔼𝕌𝕍𝔼 𝔻𝔼 𝕃𝔸 𝔹𝕃𝔼𝕊𝕊𝕌ℝ𝔼 … ℙ𝕆𝕌ℝ ℕ𝔼 ℙ𝔸𝕊 ℂ𝔸𝕌𝕋𝕀𝕆ℕℕ𝔼ℝ
Pour certains, comme pour moi, il y a des choses qu’on ne veut tout simplement pas pardonner. Il y a comme une rumination dont on sait qu’elle ne nous apporte guère de bien, mais qui demeure la preuve de la blessure, le souvenir douloureux qu’on n’oubliera pas et qui nous emportera dans de nombreuses luttes intérieures et extérieures…
Car pardonner, cela peut donner l’impression qu’on cautionne ce qui a été commis, qu’on accepte peut-être, qu’on oublie tout ?
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Eh bien non, pardonner, ce n’est pas cela. Pardonner, c’est avant tout se redonner à soi-même amour et liberté. C’est libérer toute cette énergie sombre qui nous emprisonne. C’est couper les liens avec l’histoire douloureuse. C’est le choix de se détacher de ces aiguilles qui piquent notre cœur de façon lancinante. Briser les chaînes de la souffrance. Il ne s’agit pas d’effacer la blessure. La blessure est là. Il s’agit de guérir le cœur, de « doucher » tendrement son cœur, pour le laver de tout ce qui le fait suinter. Lui permettre d’accéder à plus de paix intérieure. Que ce locataire désobligeant nommé « souvenir douloureux » quitte l’espace de notre vie, de notre coeur, de notre corps, de notre esprit.
Le processus holoénergétique que je vous propose vous accompagne sur le chemin de cette libération intérieure. Pour plus de paix et de joie. Venez mettre de la lumière et de l’amour là où justement vous en avez le plus besoin.
